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Rapport 2021 de l'observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires

Auteur: OFPM/FRANCEAGRIMER - Source: Observatoire - Date de parution: 15/06/2021 - Date de mise en ligne: 15/06/2021 - Editeur: OFPM - Ouvrage: Rapport

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Rapport 2020 de l'observatoire

Auteur: OFPM, FranceAgriMer, Philippe Chalmin - Source: Observatoire - Date de parution: 18/06/2020 - Date de mise en ligne: 18/06/2020 - Editeur: FranceAgriMer - Ouvrage: Rapport

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Rapport de l'observatoire de la formation des prix et de marges

Auteur: OFPM - Source: Observatoire - Date de parution: 20/02/2020 - Date de mise en ligne: 20/02/2020 - Editeur: OFPM - Ouvrage: Rapport

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Rapport 2013 de l’observatoire de la formation des prix et des marges

Auteur: OFPM - Source: Observatoire - Date de parution: 20/01/2020 - Date de mise en ligne: 20/01/2020 - Editeur: OFPM - Ouvrage: Rapport

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En 2015, la consommation alimentaire, restauration incluse, contient 14% de produits agricoles domestiques. La valeur ajoutée totale induite par 100 € de dépenses alimentaires s’élève à 64 €, le reste correspondant aux importations d’aliments et d’intrants (respectivement 11,1 € et 14,7 €) et aux taxes (10,5 €). L’agriculture reçoit (ou crée) 10% de la valeur ajoutée induite et 6,5% de la dépense de consommation. Les parts du commerce, de la restauration et des autres services sont respectivement de 15%, 13% et 14% de la dépense, celle des industries alimentaires s’élève à 11% et celle des autres industries à 3%. Les emplois induits par la consommation alimentaire sont évalués en 2015 à 2,56 millions d’équivalents temps plein dont 70% hors agriculture et industries alimentaires. Ces emplois induits ont diminué de 8% depuis 1999, la progression dans le commerce (+13%) ne compensant pas les baisses dans l’agriculture (-28%) et dans les autres branches (-11%). La consommation alimentaire, restauration incluse, contribue pour 36% à la formation du revenu de la branche agricole.

Auteur: Philippe Boyer - Source: Observatoire - Date de parution: 19/11/2019 - Date de mise en ligne: 19/11/2019 - Editeur: FranceAgriMer - Ouvrage: La Lettre de l'OBSERVATOIRE

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Auteur: OFPM, FranceAgriMer, Philippe Chalmin - Source: Observatoire - Date de parution: 03/06/2019 - Date de mise en ligne: 24/12/2019 - Editeur: FranceAgriMer - Ouvrage: Rapport

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Les travaux de l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires (OFPM) sont présentés de façon détaillée dans son rapport annuel au Parlement et sur son site internet :

https://observatoire-prixmarges.franceagrimer.fr/Pages/default.aspx

La présente note est une synthèse de la partie du rapport annuel 2018 sur les coûts et les marges de la grande distribution en 2016, approche conduite par l’Observatoire depuis 2012. L’exposé de la méthode et des résultats est complété par une discussion sur ces derniers et sur le contexte et les perspectives de ce travail, qui répond à une demande forte du comité de pilotage de l’Observatoire.

Auteur: OFPM FranceAgriMer - Source: Observatoire - Date de parution: 08/11/2018 - Date de mise en ligne: 08/11/2018 - Editeur: FranceAgriMer - Ouvrage: Article

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Le septième rapport de l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires, qui s’appuie sur des travaux de FranceAgriMer, a été présenté à la presse ce jour, en présence de Stéphane Travert, Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation. Il a été remis ce même jour au Parlement par son président, Philippe Chalmin. Ce rapport retrace les évolutions de prix constatées aux différents stades des filières suivies par l’Observatoire et analyse leurs conséquences sur les résultats des entreprises des différents maillons. Après les fortes baisses de 2014 et 2015 et la stagnation de 2016, l’année 2017 se caractérise par une amélioration globale des prix à la production agricole, avec une hausse moyenne de 3% par rapport à 2016. Les prix augmentent dans l’ensemble des filières étudiées, sauf pour le blé dur et les légumes. Il est stable pour les volailles et les fruits. La relative amélioration des prix des animaux de boucherie en 2017 et une certaine stabilité des coûts de production en élevage entraînent une amélioration des marges nettes en élevage, qui devient positive en élevage porcin après plusieurs années déficitaires. En élevage bovin viande, cette embellie ne permet toutefois pas de rémunérer correctement l’exploitant pour son travail et ses capitaux propres. Les comptes des industries de viande de boucherie montrent en général une diminution des marges nettes en 2017. Sensiblement érodé en 2015 et 2016, le revenu des producteurs de lait de vache progresse en 2017, grâce à l'augmentation du prix du lait et la stabilité des coûts de production. Si le prix du blé est resté bas en 2017, le rendement moyen des exploitations est revenu à la normale après une année 2016 hors normes. Dans ces conditions, la vente des produits et les subventions permettent de couvrir en quasi-totalité les coûts de production des céréaliers, rémunération comprise. Comme chaque année, au terme d’enquêtes et d’entretiens sur place dans les enseignes, l’Observatoire a calculé les charges moyennes et les marges nettes par rayon alimentaire frais des GMS, pour l’année 2016.

Auteur: OFPM FranceAgriMer Philippe Chalmin - Source: Observatoire - Date de parution: 19/06/2018 - Date de mise en ligne: 19/06/2018 - Editeur: FranceAgriMer - Ouvrage: Rapport

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En 2014, la consommation alimentaire, restauration incluse, contient en valeur 14,6% de produits agricoles domestiques. La valeur ajoutée totale induite par 100 € de dépenses alimentaires s’élève à 65,1 €, le reste correspondant aux importations d’aliments et d’intrants (respectivement 10,3 € et 14,8 €) et aux taxes (9,8 €). L’agriculture reçoit (ou crée) 10% de la valeur ajoutée induite et 6,5% de la dépense de consommation. Les parts du commerce, de la restauration et des autres services sont respectivement de 24%, 21% et 22% de la valeur ajoutée induite, celle des industries alimentaires s’élèvent à 18% et celles des autres industries à 5%.

Le partage de l’euro alimentaire a évolué depuis 1999 sous les effets structurants de l’incorporation croissante de services dans l’offre alimentaire, du développement des importations et de l’évolution des rapports de prix des produits, notamment sous l’effet de la baisse du soutien des prix agricoles, conséquence des réformes de la PAC. Les variations conjoncturelles des rapports de prix jouent également dans les variations interannuelles de la part de l’agriculture dans l’euro alimentaire.

Les emplois induits par la consommation alimentaire sont évalués en 2014 à 2,6 millions d’équivalents temps plein dont près de 70% hors agriculture et industries alimentaires. Ces emplois induits ont diminué de 7% depuis 1999, la progression dans le commerce et les services ne compensant pas la baisse dans l’agriculture et l’industrie.

La hausse de la dépense des ménages en produits alimentaires domestiques qui découlerait mécaniquement d’une hausse de 10% des prix des produits agricoles domestiques serait de 4,4%, sous une hypothèse de taux de marges de commerce et de transport inchangés. Sur l’ensemble de la consommation alimentaire en produits domestiques et importés, restauration incluse, cette hausse serait de 2,7% ; elle porterait sur 20% des dépenses totales des ménages.

Auteur: Philippe Boyer - Source: Observatoire - Date de parution: 30/12/2017 - Date de mise en ligne: 30/12/2017 - Editeur: FranceAgriMer - Ouvrage: La Lettre de l'OBSERVATOIRE

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« Que recouvrent les écarts entre les prix agricoles et les prix alimentaires ? » À l’occasion des États Généraux de l’Alimentation, cette Lettre de l’OBSERVATOIRE présente les approches de cette question par l’Observatoire, dans quelques-unes des filières qu’il suit. L’analyse du partage de « l’euro alimentaire », c'est-à-dire le calcul des valeurs ajoutées induites par nos dépenses d’alimentation, est proposée d’abord comme cadrage général. Sont ensuite rappelées les évolutions des prix et marges brutes aux différents stades dans quelques filières. Les écarts de prix entre ces différents stades recouvrent des coûts, bénéfices ou pertes, approchés par les comptes des secteurs de ces filières.

Auteur: Philippe BOYER - Source: Observatoire - Date de parution: 01/10/2017 - Date de mise en ligne: 27/10/2017 - Editeur: FranceAgriMer - Ouvrage: Lettre de l'Observatoire

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